Progrès : des raisons d’espérer
Le succès des formations écologistes aux élections européennes est venu confirmer, s’il en était besoin, l’inquiétude de nos contemporains – surtout les plus jeunes – sur l’avenir de la planète. Il ne s’agit même plus de discuter les effets pervers de la croissance, comme dans les années 1970, à l’époque du rapport du Club de Rome. Il semble que nous sortions en fait d’une longue période pendant laquelle la croyance dans le progrès (ou le développement) humain, scientifique, économique, social, permettait d’attendre des jours meilleurs pour l’humanité. Cette perspective s’est-elle définitivement évanouie, ou conservons-nous encore quelques raisons d’espérer ?
Avec la participation de :
Dorothée Browaeys, biologiste de formation, elle dirige TEK4life qui s’emploie à accélérer la bascule vers une société réajustée aux milieux vivants, après avoir été responsable de la rubrique Sciences du quotidien La Croix. Elle a publié en 2011 avec Bernadette Bensaude-Vincent : Fabriquer la vie. Où va la biologie de synthèse ? (Seuil), et en 2018 : L’urgence du vivant: vers une nouvelle économie (François Bourin).
Jean-Michel Debrat, ancien directeur général adjoint de l’Agence française de développement, chargé des relations institutionnelles de l’Observatoire Pharos.
De 20h30 à 22h30
à l’Espace Montcalm (salle 15)
55, rue Monseigneur Tréhiou 56000 Vannes